Milan perd 1,5%, Wall Street nerveuse. Tokyo a gagné 0,3% ce matin après les deux décès japonais. Shanghai en fuite de 1,8% avec la baisse des taux. L’or au sommet depuis sept ans pour les craintes mondiales, les crises géopolitiques font monter le pétrole
par RAFFAELE RICCIARDI
MILANO – Tendances nerveuses sur les marchés financiers pour les nouvelles de la source de la santé concernant la propagation du coronavirus. Après les chiffres réconfortants de la veille, le nombre de nouveaux cas diminuant, les investisseurs s’inquiètent des deux décès signalés au Japon et de l’augmentation des infections en Corée du Sud.
Le dollar et l’or, actifs refuges, continuent d’être privilégiés par les investisseurs, bien que les actions mondiales – soutenues par les banques centrales – ne montrent certainement pas de signes de défaillances violentes. Après un premier bond, lié à une débâcle soudaine du yen, la Bourse Tokyo clôture légèrement en hausse: le Nikkei a gagné 0,34% ce matin. Meilleures performances a Shanghai, l’indice progressant de 1,8% grâce à une nouvelle intervention de la Banque centrale chinoise qui a réduit le coût de l’argent.
Les bourses européennes traitent les faibles: trop Londres, qui avait maintenu la parité pendant de longues périodes, a clôturé en baisse de 0,27%. Milan il se termine sur le plus bas avec l’indice Ftse Mib qui perd 1,56%. Francfort de 0,91% e Paris de 0,8%.
Sur la Piazza Affari, l’accent reste sur le secteur bancaire, après la froide réponse du conseil d’administration d’Ubi (suivre le titre) à l’offre publique d’échange lancée par Intesa Sanpaolo (suivre) et le mandat au PDG Victor Massiah de trouver des consultants évaluer la proposition. Les skieurs rassemblés dans la voiture, quant à eux, ont déjà qualifié l’OPS de « hostile » et « inacceptable ». La banque «proie» a été placée sous observation par l’agence de notation S&P avec des perspectives favorables. Tenaris faible (suivre) après le quatrième trimestre entraîne une baisse. Atlantia souffre également, sur l’ultimatum du gouvernement pour la concession d’Autostrade per l’Italia après l’approbation du Milleproroghe qui donne une plus grande force juridique à l’exécutif dans la négociation. Unicredit baisse en fin de compte, à la nouvelle que le PDG Jean Pierre Mustier serait candidat à la direction de HSBC.
Wall Street, après les records de la nuit dernière, il revient lourd. Après le soutien temporaire de certaines données macroéconomiques, à la clôture des échanges avec l’UE, le Dow Jones est revenu à -1,1%, le S & P500 a perdu 0,4% et le Nadsaq 1,6%. Le superindex de l’économie, établi par le Conference Board, a augmenté de 0,8% à 112,1 points en janvier (contre une attente de hausse de 0,4%) alors que les conditions du secteur manufacturier dans la région de Philadelphie sont s’est nettement amélioré au-delà des attentes en février (à 36,7 points contre 17,0 points et contre 8,0 points) et le nombre de travailleurs qui ont demandé des allocations chômage pour la première fois a augmenté en ligne avec ce attendus par les analystes.
la propagation entre BTP et Bund, il est légèrement en dessous de 135 points et le rendement à dix ans est légèrement déplacé à 0,933%. Fermeture stable pour leeuro au-dessus de 1,08 $. La devise européenne, après avoir atteint un plus bas de séance de 1,0778 $, a terminé la séance dans la zone 1,0805. En revanche, le yen était faible, alourdi par les craintes d’une récession pour l’économie japonaise. La devise japonaise a perdu du terrain tant contre l’euro vers 121,10 que contre le dollar vers 112,10.
Continuez comme la course duor sur les craintes causées par le ralentissement de l’économie: le prix du refuge par excellence augmente de 0,4% à 1 618,52 $ l’once, le plus haut depuis mars 2013. Le prix du huile cette fois, il augmente à nouveau en raison des craintes d’approvisionnement, en raison des crises géopolitiques qui affectent la Libye et le Venezuela. Le baril de Wti accélère encore après la hausse des stocks de pétrole brut américain, mais moins que prévu la semaine dernière. Le contrat de mars rapporte 2% à 54,5 $ le baril.
Sur le plan macro, il convient de noter qu’après l’indice Zew, l’indice Gfk sur la confiance des consommateurs en Allemagne devrait également baisser en mars en raison de l’incertitude créée par le coronavirus. L’indice avancé est tombé à 9,8 points en mars contre 9,9 points en février. Selon Rolf Buerkl, l’expert de la consommation de GfK, une baisse ou une interruption de la production dans les entreprises chinoises pourrait affecter la production en Allemagne ou même l’arrêter complètement et cela pourrait entraîner une réduction des heures de travail et éventuellement une réduction du personnel, ce qui cela « ne bénéficierait pas à la confiance des consommateurs ». à partir de minutes de la BCE la volonté du Directoire est apparue de maintenir des taux négatifs pour soutenir l’économie.
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