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Mettre en quarantaine les absences du travail, en raison des dispositions des autorités sanitaires, par crainte de contagion: comment les gérer?
La confusion créée par l’épidémie actuelle de coronavirus affecte également l’environnement de travail: entreprises forcées de suspendre l’activité, travailleurs à domicile en quarantaine, autres travailleurs absents par crainte d’être infectés, d’autres encore qui ne savent pas à qui confier aux enfants, la fermeture des écoles. Mais comment gérer ces absences? Est-il juste de les traiter comme des vacances, comme des absences justifiées mais non rémunérées ou comme des congés de maladie?
Si le travailleur fait uneabsence de coronavirus puis-je le transformer en maladie?
Tout d’abord, il convient de noter que de nombreux cas peuvent être gérés par un travail intelligent, c’est-à-dire par un travail à distance agile, qui peut être activé avec une procédure plus simple en raison des nouveaux décrets récemment publiés. [1].
Cependant, toutes les activités ne peuvent pas être effectuées avec une connexion à distance. Dans ces cas, les absences doivent être gérées en fonction de la raison spécifique.
D’une manière générale, les absences en quarantaine ordonnées par l’autorité sanitaire sont assimilées à des congés de maladie, mais les absences justifiées par la seule peur de la contagion, sans fondement clinique ou réglementaire, ne le sont pas. Mais passons à l’ordre et essayons de faire le point sur la situation.
Absence pour cause d’activité suspendue sur ordre de l’autorité publique
Si l’activité de l’entreprise est suspendu sur ordre de l’autorité publique, il est clair que leabsence du travailleur est pleinement justifiée et ne peut être attribuée à la volonté des parties.
Dans ces cas, l’employeur doit prendre des mesures pour localiser filets de sécurité sociale pour soutenir le revenu, comme les licenciements ordinaires, par dérogation [2], le contrôle ordinaire, les éventuels amortisseurs supplémentaires prévus par la convention collective appliquée et par les nouveaux décrets pris.
Le nouveau décret [3] recommande l’utilisation d’outils de flexibilité internes, tels que les vacances, les permis et les attentes: il est vrai qu’en ce qui concerne fêtes cela irait, au moins en partie, déformer le but de cette institution, c’est-à-dire permettre au travailleur un repos psychophysique adéquat et le rétablissement des relations familiales et social (à condition que dans le contexte actuel, la reprise de la vie sociale, normalement limitée par l’activité professionnelle, soit difficile à mettre en œuvre en raison des limites dues à l’épidémie). Cependant, nous ne devons pas oublier que nous sommes dans une situation d’urgence exceptionnelle, pour laquelle l’impossibilité inattendue de la performance pourrait être configurée, avec le droit du travailleur, oui, à l’absence justifiée, mais sans rémunération. La disposition des vacances et congés est donc préférable, car ce sont des absences rémunérées.
Absence en raison d’activités suspendues par l’entreprise
Si, en revanche, l’entreprise adopte le suspension de l’activité travail, sans ordres ni recommandations, l’entreprise a la charge de rémunérer les travailleurs disponibles pour mener à bien l’activité. Dans tous les cas, lorsque cela est possible, il est préférable d’adopter des outils alternatifs pour effectuer la performance au travail, tels que travail intelligent.
Travailleur résident ou domicilié dans les municipalités mises en quarantaine
Si le salarié est obligé de s’en aller car résidant ou domicilié dans les communes de la zone rouge, donc incapable de se déplacer, l’absence est à considérer comme justifiée.
Dans le cas d’une mesure de quarantaine individuelle, l’absence est pleinement assimilée à une absence pour maladie, avec droit de percevoir l’allocation de l’INPS et de l’employeur conformément aux dispositions de la loi et de la convention collective applicables. Des considérations identiques s’appliquent au mise en quarantaine volontaire (séjour fiduciaire à domicile avec surveillance active) [3].
Absence de peur de la contagion
Si le travailleur, incapable de se déplacer et non affecté par des mesures de quarantaine ou par d’autres limitations, décide volontairement de s’absenter pour une simple peur de la contagion, en l’absence d’accord préalable avec l’employeur, l’absence est considérée comme injustifiée et l’expose à des conséquences disciplinaires potentielles.
Absence en raison de problèmes familiaux
Avec le fermeture des écoles, un autre problème se pose pour i parents qui travaillent: si le salarié n’a pas la possibilité de confier les enfants à des tiers, il est obligé de s’absenter du travail.
Pour remédier aux inconvénients, s’ils ne sont pas pleinement utilisés, ils peuvent congé parental, qui, selon la législation en vigueur, peut être utilisé par 12 ans de la vie de l’enfant. Dans ces cas, il peut également recourir aux vacances et congés, ou au travail intelligent.
En tout état de cause, si l’entreprise a activé des services de bien-être, le travailleur peut utiliser les fonds disponibles pour payer les services de garde d’enfants, les services de garde d’enfants et les services d’assistance pour les membres âgés ou non autonomes de la famille.
[1] D.L. 6/2020; Décret du Premier ministre 01/03/2020.
[2] D.L. 9/2020.
[3] CDL Studies Foundation, étude approfondie 4 mars 2020.
