Géniteurs du COV 19 (Jacques Daudon)

Les mains de la Chine communiste sur l’Organisation mondiale de la santé, accusée par les Américains de connivence avec le régime de Pékin et d’aggraver la pandémie. L’Éthiopien à la tête du corps est en grand danger.
Les erreurs de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) dans la gestion de l’urgence du coronavirus ont été nombreuses et très graves. Et depuis quelques jours, l’Amérique a commencé à élever la voix, attaquant son président Tedros Adhanom Ghebreyesus avec la tête baissée, dont les limites étaient évidentes presque immédiatement. C’était le 28 janvier et l’ancien ministre de la Santé avant et après l’Éthiopie, une dictature communiste et pour ce sympathisant de la Chine, il s’est rendu à Pékin, où à la fin d’une rencontre avec le président Xi Jinping il a communiqué au monde que tout était sous contrôle à Wuhan, minimisant l’ampleur de ce qui allait se transformer en une catastrophe économique et sanitaire mondiale dans les semaines suivantes.
L’OMS n’a émis aucune directive capable de protéger la santé des habitants de la Terre, contrevenant à son rôle dans la lutte contre les épidémies. Personne de cette institution n’a suggéré aux gouvernements que les positifs au coronavirus ne devraient pas aller aux urgences ordinaires, sinon ils alimenteraient une épidémie, comme cela s’est produit en février dernier à l’hôpital de Codogno dans la région de Lodi. Au contraire, la suggestion faite à propos des masques a semé la confusion et perdu un temps précieux dans la lutte contre l’urgence, l’aggravant quelque peu. Selon l’institut, en fait, il n’aurait été d’aucune utilité pratique de les porter, alors qu’il est apparu que de nombreux patients positifs atteints de coronavirus étaient asymptomatiques et que se couvrir le nez et la bouche éviterait d’infecter inconsciemment les autres.
Le soulèvement américain contre l’OMS
En bref, les gouvernements ont cependant dû se contenter de s’appuyer sur de rares informations en provenance de Chine, où les retards dans la lutte contre l’épidémie s’avéreraient fatals.
Pourtant, l’organisation a qualifié le Coronavirus de «pandémie» seulement le 11 mars, alors qu’elle sévissait déjà en Europe, d’abord en Italie. Plutôt que d’aider, il s’est avéré être une source d’aggravation de la situation, comme pour conseiller aux gouvernements de ne pas fermer les frontières avec la Chine. « Heureusement », a commenté le président américain Donald Trump ces derniers jours, « je n’ai pas fait attention à elle ». Et des républicains il y a des commentaires très critiques envers l’OMS, avec les sénateurs Rick Scott et Marco Rubio demandant des enquêtes et avec le Wall Street Journal appeler à des éclaircissements sur le rôle de Ghebreyesus, homme politique et non médecin, élu à la tête du corps avec le soutien des amis communistes de Pékin.
Représailles avant la Chine
Le journal financier se demande quel sens cela fait à un homme de faire de la politique à la tête d’une organisation qui ne devrait s’occuper que de la santé. Et Trump prend le ballon pour rapporter comment l’Amérique contribue au financement de l’OMS pour 22% du total, contre 12% de la Chine. Pourquoi diable, se demande-t-il, devrait-il être si pro-chinois, si l’argent est mis par les États-Unis en premier lieu? La toxicité de cet organisme international n’est que la première étape d’un puzzle qui sera mis en place dans les mois à venir et qui, une fois l’urgence passée, fera émerger une confrontation internationale entre la Chine et l’Occident.
Trump, cependant, au milieu de la campagne électorale, a bien l’intention d’aller « All in » contre la Chine. Il doit son entrée à la Maison Blanche précisément à sa ligne anti-chinoise sur l’économie, mais maintenant que les Américains comptent eux aussi leurs nombreux décès dus à un virus venant de Pékin, quelle meilleure opportunité pour accélérer les plans de confrontation avec le Dragon? Le règlement des comptes n’aura pas lieu devant un tribunal, on verra à peine Washington infliger le régime sur les horaires et les modalités de gestion de la pandémie à Wuhan, même si le manque de fiabilité des données chinoises sur le nombre de personnes infectées et de décès apparaît chaque jour plus clairement.
COVID 19 Réalités scientifiques & bon sens ! (Jacques Daudon)

Vers une nouvelle mondialisation
L’objectif à long terme de Trump est la régionalisation de la production, c’est-à-dire la fin de la mondialisation telle que nous l’avons vécue au cours des deux dernières décennies. Le monde ne reviendrait pas sur les marchés nationaux, mais serait divisé en grands blocs géopolitiques, chacun avec sa propre sphère d’influence et hors de laquelle il ne devrait pas mettre les pieds. Les entreprises se déplaceraient à l’intérieur de chaque bloc, avec des caractéristiques macroéconomiques à peu près homogènes, dans lesquelles la concurrence des coûts et des réglementations et de la fiscalité serait contenue. Selon ce point de vue, les classes moyennes en bénéficieraient, les niveaux d’emploi étant plus protégés qu’aujourd’hui. Cependant, le capital continuerait probablement de se déplacer à travers la planète.
La Chine n’aime pas ce discours, étant devenue la fabrication du monde. Mais précisément son échec à gérer la pandémie dans les premiers stades a fait fuir les bœufs de la clôture, forçant des actions draconiennes en janvier, avec la fermeture de Wuhan et le blocage des activités, qui avait été répété partout dans le monde ces dernières semaines.

3 commentaire
tous corrompu maire elu depute tous a juger devant le tribunal populaire des peuples, le virus est un mensonge manipulation ainsi que leurs tests archi faux, francais reveillez vous
Gouvernement et citoyens sont coupables de la destruction de la vie. Les initiateurs de cet état de faits en restent néanmoins les politiques de tout bord. Nous ne méritons pas d’être pris en pitié par le créateur ? Non, les Lois naturelles sont impitoyables. (Eric-Régis Fiorile)
Quelle sagesse! Bravo, monsieur. Vive la Gascogne et les gascons et pour reprendre D’artagnan (qui a réellement existé, traces à Navarrens…) je dis haut et fort « Un pour tous et tous pour un !